fear isn't enough«
Papa, je t'en pris... Je veux rentrer à la maison... » Il me regarde avec un de ses sourires si rassurant et je lui souris en retour. Il ne dit rien et passe sa main dans mes cheveux. Il passe la porte et entre dans ce stupide bar. Je pousse un soupire et me laisse tomber contre le mur. Je me mets à compté le temps comme il me l'avait montré. Il m'avait dit que ça ne durait jamais plus de cent bateau. J'étais rendu déjà à quinze quand on poussa la porte. Je me relève activement, cessant de compté. Cette fois, plus vite que jamais mon père revenait. Je me retourne vers la porte, mais mon sourire s'efface. C'était un vieux soûlon puant qui descendait les marches. Je m'adosses au mur essayant de me souvenir ou j'étais rendu. Je fixais mes pieds perdue quand d'autres pieds entrèrent dans mon champ de vision. Je levai les yeux et croisai le regard de ce soul. Je me calle contre le mur, il puait, mais vraiment beaucoup trop. Il s'approche de plus en plus de moi et pose ses mains contre moi. Je pousse un hurlement. «
Papa! » Je repousse activement l'homme et tente de m'enfuir, mais il m'agrippe le bras et me colle à lui. Je me débat dans tous les sens. Il en avait de la force pour un homme affecté par l'alcool. Je sentais mon corps se mettre à trembler et les larmes se mirent à couler. Il approche son visage du mien et le seul réflexe que j'eus, fu de lui mordre le visage. Il poussa un cri. «
SALE PUTE! » Il me jeta dans les ordures et je me trainai au sol pour m'éloigner, mais il me rattrapa par le pied me trainant au sol. Il agrippe mon chandail et je le sentis se déchirer sous la pression. «
PAPA!! » Rien à faire, mon père n'arrivait pas à ma rescousse. Je hurlais, le plus fort que je pouvais, balançant des ordures à la tête de mon agresseur. Une fois de nouveau prise dans ses bras, la porte s'ouvrit à nouveau, j'espérais mon père, mais non. Jetant un léger coup d'oeil de détresse, je me rendis compte que c'était un autre homme. Je vis son visage se crisper, les traits tiré, il était en colère. Il se rua sur nous et arracha l'homme de moi. Je me glissai au sol, toujours hurlant, sous le choc. Je le vis frapper à multiple reprises l'homme jusqu'à ce qu'il parte. Le jeune homme s'accroupie face à moi, à quelques pieds avant de s'approcher en douceur. Le visage rougi par les larmes, mon chandail à moitié arracher, ma voix toujours hurlant, je me ruai contre lui, dans ses bras. Il me serra contre lui, caressant mes cheveux. Je sentais son coeur battre contre mon orreil. Il était tellement calme. Et alors, il ouvrit la bouche parlant tout bas, comme pour me rassurer. «
Добре, заспокойся, це нормально, що він пішов. Не бійтеся, я буду захищати тебе. » Je ne comprenais rien, absolument rien, ce n'était pas du français, ni de l'anglais. Je fermai les yeux pour essayer de me calmer, mais je pleurais toujours de ma voix portante. La porte s'ouvrit à nouveau et cette fois... «
QUEL MERDE! DÉGAGE DE MA FILLE FUMIER! » Mon père. Je lève les yeux au moment ou mon sauveur se relève d'un bon levant les mains comme s'il n'avait rien fait de mal. «
Сер, будь ласка, не кричати ... Вона потрібна допомога! Я ... я тільки що врятував її, я її не чіпав. » Je ne comprenais toujours rien. Je tournai le regard vers mon père, il bouillonnait, il fulminait. Il sera les points s'avançant vers lui. J'étais figé, immobile, j'étais incapable de bouger. «
Sale Ukrainien! Ça se croit tout permi! Ravale ta langue connard, je veux rien entendre! » Puis il se jeta sur lui et le passa à tabac. Je tremblais toujours. Je devais faire quelque chose, sinon il allait le tuer, je n'avais pas envie qu'il meurt. La seule chose que je su dire fut : «
PAPA!! » Il s'arrêta dans son coup fatale et se recula. Il se jeta ensuite sur moi me prenant contre lui, pour me ramener à la maison. Par dessus son épaule je voyais mon sauveur incapable de bouger, à moitié mort.
crazy's my middle nameCela faisait des heures et des heures que j'étais en vol, je n'avais aucune idée ou j'allais, la seule chose c'est que je savais ou je devais aller, je devais aller à Norvège, je me disais que si mon père était toujours vivant, ce serait là que je le retrouverais. Je fixais l'océan au loin, j'avais de la difficulté à contrôler l'appareil, j'étais épuisé Me tournant légèrement pour atteindre mon sac que j'avais placé sur le banc passager, je me rendis compte que mes yeux se fermaient d'eux même. Au même moment, mon regard dériva vers l'arrière et je cru appercevoir ma mère. Mes mains se mirent à trembler et je me redressai, les deux mains sur le volant. Je passe une main tremblante dans mes cheveux jusqu'à ce que mes yeux se penche sur le tableau de bord, j'étais sur le bord de ne plus avoir d'essence. Mon coeur s'emballe et je regarde autour de moi, plus au sol pour voir s'il n'y aurait pas terre généreuse qui me permetterait de survivre. Regardant de nouveau devant moi, j'apperçois la terre. Je n'ai aucune idée où je suis, mais bon, peut-être que quelqu'un m'entendrait. «
Першотравнева ... Будь ласка, якщо хтось чує мене, я з газу, я збираюся до краху. Будь ласка хтось! ДОПОМОЖИ МЕНІ! » Oui, Ukrainien, j'avais essayer toutes les langues que je connaissais, excepté celle-ci et pourtant, j'ai finis par essayer et ce fut la seule langue dans laquelle j'eus une réponse. «
Я чув, ви, де ти? » Je n'ai pas eut le temps de répondre que je vis l'appareil piquer droit vers les arbres. Je poussai un hurlement, micro ouvert et fermai les yeux. Au contact du sol, je perdis conscience. Je n'ai aucune idée combien de temps, mais pour être honnête, je m'en fiche, puisque à mon réveil j'étais effrayé. J'ouvre finalement les yeux et regarde autour de moi, j'étais coincé, ma ceinture ne bougeait plus, ma jambes était tailladé par le tableau de bord. Je pousse un grognement et pose ma main sur mon front, il était en sang. Je tend le bras, tente d'atteindre mon couteau, mais je hurle de douleur. Je m'arrête et panique. Je regarde autour de moi et je vois une foule d'infecté se dirigeant vers l'avion. Mon coeur s'emballe à nouveau, je dois absolument sortir de là. Je tend mon bras à nouveau. «
ÇA Y EST! » Je coupe la ceinture et repousse le tableau de bord pour me redresser. J'allais pour quitter l'appareil vers l'arrière, mais me retournant, il y avait une foule d'infectés. Je n'avais pas le choix, je devais quitté par la fenêtre avant. Je la pousse de mes bras et elle tombe d'une telle facilité. Je me glisse hors de l'appareil et cours du mieux que je peux avec une horde à mes trousses. Je contourne un arbre et en m'agrippe le bras. Je me retourne et pousse un hurlement. Un infecté me tenait le bras et s'apprêtait à me mordre. Je vis ses dents me transpercé la cherche. De mon couteau je le poignarde à plusieurs reprises au niveau de la tête jusqu'à ce qu'il me lâche et me retrouve plaqué au sol près d'un arbre. Je me mets à trembler tenant mon poignet. Tout ce chemin pour me faire morde, j'étais vraiment chanceuse... Après un bon moment allongé au sol, j'entend des voix. «
Elem! Arrête! Tu vas nous faire repérer, merde, tu sais très bien qu'il y a des infectés ici... » Puis j'entendis des chuuu. «
Par là. » Je tente de me glisser plus loin et me cache derrière l'arbre tenant toujours mon bras. Des pas se firent entendre, ils venaient vers moi. Je vis une main se poser contre l'arbre et tendant mon couteau dans les airs prête à frapper, je vis un jeune homme apparaitre. Je croisai son regard, j'étais étonnamment effrayé. Il s'approcha rapidement de moi et posa sa main contre la mienne afin que je lâche le couteau, ce que je fis. «
це нормально. » Je garde mes yeux dans les siens, mon coeur s'emballe. Il baisse les yeux sur mon bras et je l'éloigne. «
On m'a mordu. » Je le vois arquer un sourcil puis il avance mon bras vers lui. Il déchire le bas de sa chemise et et couvre mon poignet. «
Oui, les branches peuvent être agressive, mais je ne dirais pas qu'elles vous ont mordu. » Je regarde mon bras, ça ne ressemblait pas à une morsure, mais ce que j'avais vu... «
Vous l'avez bien eut vous aussi. » Il émit un petit rire, ce qui me rassura. Je fis un léger sourire. Puis il me souleva de terre et me garda dans ses bras sur de long kilomètre. Je m'étais appuyé contre lui, épuisé de mon vol et vidé de mon sang.
fear isn't a word of mineVoici la section de l'histoire, vous avez le choix, sois vous nous faites une liste de points important sur la vie autant précédent et actuel de votre personnage ou deux anecdotes d'histoire dont : une avant le retour du virus et une après. Tout ça dans un total de vingt-cinq lignes. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.